Bons et mauvais arguments contre le passage à l'électrique

L'un des principaux services fournis par Fremsyn est son Analyse de Flotte, dans laquelle nous créons un rapport complet sur les enjeux de la conversion progressive de la flotte d'une entreprise aux véhicules électriques, ainsi que sur la meilleure façon de le faire. Cependant, certaines personnes restent encore sceptiques quant aux mérites des véhicules électriques, pour diverses raisons:

« Ils sont bien plus chers ! », « Ils sont en fait pires pour l'environnement ! », « Je n'aime pas les conduire. », « Ils mettent du temps à charger ! »…

Les gens utilisent de nombreux arguments pour justifier de ne pas passer aux véhicules électriques et, certes, certains d’entre eux sont valides et pertinents. Certains. D’autres, bien que vrais, ne sont en aucun cas des arguments pertinents . Et d’autres encore sont tout simplement faux, diffusés par des personnes soit mal informées, soit malhonnêtes. Examinons tout cela.


I.                    Des arguments réels et légitimes

a.       « Je n'ai pas besoin d'utiliser une voiture. »​

Super ! Si vos pieds, votre vélo ou votre mode de transport en commun préféré suffisent à vos besoins et envies, ce ne serait effectivement pas la meilleure des idées d'acheter un véhicule !​

b.      « Je n'ai pas besoin de posséder une voiture. »

Excellent ! Bien qu'il y ait diverses manières de se déplacer, si les options précédemment évoquées ne vous suffisent pas, il est en effet bon de vous demander s'il est vraiment nécessaire d'acheter un véhicule: Si vous n'avez besoin d'une voiture que pour quelques mois (pour survivre aux déplacements en hiver, par exemple), en louer une s'avère beaucoup moins cher ; si vous n'avez besoin d'une voiture que quelques jours par mois, assurez-vous de vérifier si la location de voiture à court terme est disponible dans votre région, ou si vous pouvez en emprunter une ; si vous n'avez besoin d'une voiture que pour des trajets bien précis, voyez si vous pouvez faire du covoiturage avec un·e collègue ou un·e voisin·e !

En bref, réfléchissez simplement à la question de savoir si posséder une voiture serait un gros plus dans votre vie.

c.      « Ma voiture actuelle est toujours en bon état ! »

Top ! Entretenir un véhicule en bon état de fonctionnement est généralement un choix judicieux. Premièrement, cela peut vous aider à tirer meilleur parti du prix d'achat et des émissions liées à la production du véhicule, en augmentant le kilométrage. Et deuxièmement, pendant que vous attendez, les voitures électriques deviennent plus efficaces, plus propres et moins chères.

Cependant, cela ne durera pas éternellement, votre voiture finira par devenir dangereuse ou inconfortable, ou l'entretien deviendra plus cher que les paiements mensuels pour une nouvelle voiture. Lorsque l'heure sera venue de la remplacer, assurez-vous d’abord de réévaluer votre besoin de posséder une voiture, puis envisagez de passer à l’électrique !

d.      « Il n'y a pratiquement pas de chargeurs aux alentours. »

C'est dommage, en effet. Espérons que cela change dans les années à venir. Assurez-vous de vérifier les plans de développement de bornes de recharge dans votre région, et réfléchissez à si ce manque d'infrastructure serait vraiment un problème pour vous. Si vous savez que vous pourrez recharger votre voiture chez vous tous les soirs et que vos éventuels voyages longue distance vous amèneront à une destination où vous pourrez également recharger facilement, même des points de recharge clairsemés peuvent être suffisants.

e.      « Je dois parcourir de grandes distances le plus rapidement possible et il n'existe pas de transports publics adaptés. »

Cela semble être un cas assez rare, mais il est vrai que même les chargeurs les plus puissants ne seront pas capables de recharger complètement les batteries de votre voiture en moins d'une minute comme le font les stations-service. Donc, si vous êtes réellement dans une situation où chaque seconde compte, il est compréhensible que les véhicules électriques puissent légèrement nuire à vos performances sur de très longues distances.

f.        « Je me soucie profondément de l’épuisement des ressources, des tensions géopolitiques et des conditions de travail. »

Ah. La question difficile. Il ne suffit en effet pas de considérer uniquement les émissions de gaz à effet de serre pour évaluer l’impact de quelque chose sur la planète. En effet, la production de batteries pour véhicules électriques nécessite l’extraction et la transformation de matières premières telles que le lithium, le cobalt et le nickel, ce qui peut avoir des impacts environnementaux tels que la destruction d’habitats, la pollution de l’eau et la perte de biodiversité. De plus, la chaîne d’approvisionnement mondiale en matériaux pour batteries peut impliquer des préoccupations sociales et éthiques liées aux pratiques de travail, aux droits de l’homme et à la gouvernance des ressources.

L’exploitation du cobalt, par exemple en RDC, est liée à la déforestation et à la pollution de l’eau, voire au travail des enfants dans certaines régions. L’exploitation minière du nickel en Indonésie est en partie responsable du déplacement des populations autochtones et des conflits concernant les droits fonciers et la propriété des ressources. Tous les fabricants de véhicules électriques ne sont pas égaux sur ce sujet, donc si ce sujet peut influencer votre décision, il est important de faire des recherches sur les mesures prises par les marques pour garantir des pratiques plus éthiques. 

​​ ​​ ​​ ​​ Cependant, certaines préoccupations comparables sont associées à l’industrie automobile conventionnelle : l’extraction pétrolière entraîne la destruction de nombreux habitats, des dommages environnementaux et une importante pollution de l’eau, comme on l’a vu lors de la marée noire de Deepwater Horizon en 2010 dans le golfe du Mexique. Plus récemment, le projet EACOP destiné à transporter du pétrole brut présente des risques élevés de pollution de l'eau douce jusqu'au lac Victoria, devrait déplacer plus de 100 000 personnes, porter atteinte aux droits des femmes et mettre en danger d'importantes espèces sauvages. Le raffinage du pétrole produit également de grandes quantités de polluants atmosphériques qui peuvent nuire aux communautés et à la faune voisines. En outre, tout le monde est désormais conscient de l’épuisement imminent du pétrole brut, une ressource limitée, qui rend les activités d’extraction de plus en plus difficiles. Mais plus important encore, le secteur des transports est l’une des plus grandes sources d’émissions de GES au monde, et donc un important moteur du changement climatique, avec toutes les conséquences qui en découlent sur la faune et la société humaine.

Pour résumer, les voitures, qu’elles soient thermiques ou électriques, sont mauvaises pour la planète, cela ne fait aucun doute. Cependant, pour la plupart des aspects, les véhicules électriques constituent l’option nettement plus équitable, même si, à certains égards, ils s’en sortent moins bien que les voitures conventionnelles pour des raisons liées à la production de batteries. Il est donc important que chacun puisse se faire sa propre opinion.

 

II.                  Des arguments qui peuvent être vrais, mais qui ne sont pas pertinents

a.      « Je vis dans un endroit très froid ; les batteries ne s’en sortiront pas bien ici. »

Il est vrai que le froid nuit aux performances des batteries, mais selon ce test effectué en Norvège, certaines voitures électriques se portent très bien à des températures avoisinant les -40°C, une température où de nombreuses voitures thermiques seront également confrontées à des difficultés. Donc, si ce genre de froid est votre quotidien, tant que vous faites des recherches pour vous assurer d’obtenir l’un des véhicules électriques qui n’ont pas froid aux yeux dans des conditions extrêmes, tout devrait bien se passer. Et si votre grand froid tourne plutôt autour des -15/20°C, n'en doutez pas, les VE feront l'affaire. Même si le froid peut rendre leurs performances légèrement moins bonnes, les véhicules électriques resteront plus rentables et plus économes en carbone que les véhicules fossiles pour la même distance parcourue.

b.      « Je n'aime pas les transmissions automatiques. »

Eh bien, c'est une préférence légitime. Cependant, selon vos valeurs, cela ne justifie peut-être pas de devoir dépenser et émettre beaucoup plus pour chaque kilomètre parcouru. Aussi, il s’agit peut-être simplement de s’y habituer. Ce n’est peut-être pas aussi amusant que de conduire une manuelle, mais cela s’accompagne d’une facilité d’utilisation et d’une sécurité accrues !

c.      « Je ne peux pas me permettre l'argent supplémentaire nécessaire pour passer à l'électrique. »

Les voitures électriques coûtent en effet généralement quelques milliers de dollars de plus que leurs homologues fossiles les plus proches. Cependant, une étude réalisée en 2018 par l'Institut de recherche sur les transports de l'Université du Michigan a révélé que le coût moyen du carburant d'une voiture électrique était de 485 dollars américains par an, contre 1117 dollars pour un véhicule à essence. Des tendances similaires sont observées partout dans le monde. Et l’entretien est généralement moins cher pour les véhicules électriques en raison du nombre réduit de pièces mobiles et du freinage par récupération. De plus, l’électricité étant de moins en moins chère, le prix au kilomètre va continuer de baisser. Et enfin, dans la plupart des domaines, il existe des incitations financières de toutes sortes en faveur des VE : déductions fiscales, financement partiel de l’achat, stationnement gratuit…  

En résumé, comme l'indique une étude de 2024 d'Atlas Public Policy résumée ici, le coût total de possession d'un véhicule électrique sera presque toujours inférieur à celui d'un véhicule fossile équivalent. Ainsi, à long terme, les véhicules électriques coûtent moins cher. Par conséquent, si vous pouvez vous permettre des dizaines de milliers de dollars pour acheter une nouvelle voiture, vous feriez mieux d’attendre d’avoir les moyens de vous permettre les quelques milliers de dollars supplémentaires nécessaires pour passer à l’électrique. Peut-être pouvez-vous louer quelque chose en attendant ?

d.      « Mais, et les emplois dans les secteurs du pétrole et des voitures thermiques ? »

C’est une préoccupation compréhensible. L’adoption généralisée des véhicules électriques a en effet un impact sur certains secteurs de l’économie. Cependant, il est important de reconnaître également les opportunités de création d'emplois ! La transition vers les véhicules électriques stimule la demande pour de nouvelles industries. De nombreux projets de R&D ont été lancés pour étudier des sujets liés à l'électrique, la plupart des emplois dans la fabrication de véhicules à combustion interne sont tout aussi pertinents pour la fabrication de véhicules électriques, et pour les personnes plus spécialisées dans les moteurs, les opportunités de réorientation pour s'adapter à la production de véhicules électriques sont nombreuses, et leurs compétences peuvent également être très utiles dans d’autres domaines liés à la fabrication, l’ingénierie ou la logistique. C'est peut-être un problème, mais moins grand que ce à quoi on pourrait s'attendre, et l'intérêt environnemental en vaut sans aucun doute la peine !

e.      « L’électricité est très sale là où j’habite… »

C'est malheureux. Cependant, même dans les zones à forte intensité carbone, au cours de leur durée de vie, les voitures électriques sont responsables de moins d'émissions que la plupart des voitures à moteur thermique, comme le montre ce scénario hautement irréaliste considérant le pire des cas où toute l'électricité utilisée pour produire et faire fonctionner les voitures viendrait à 100 % du charbon (remarque : ce n'est ne serait-ce qu'un peu réaliste nulle part dans le monde) :


Dans ce scénario très hypothétique, seules les voitures fossiles très efficaces finissent par être sensiblement plus propres, et les voitures très énergivores ne sont pas représentées ici. En réalité, même en Chine (où l’on produit beaucoup de batteries), le mix électrique n’atteint que 60 % de charbon, et votre mix électrique local est très probablement plus propre que cela.

 

III.                Des arguments erronés

a.      « Les véhicules électriques sont en réalité pires pour l'environnement. »

Le paragraphe précédent a montré que cela n’est pas vrai du point de vue des émissions de gaz à effet de serre dans la plupart des régions. Dans les zones à intensité carbone relativement faible, pas de doute, les véhicules électriques sont nettement plus propres.

Il est cependant important de prendre en compte d’autres aspects.

Du côté positif, les véhicules électriques sont également les clairs gagnants en matière de qualité de l’air dans les zones urbaines, car ils ne produisent aucune émission d’échappement alors que les voitures conventionnelles émettent des oxydes d’azote, des particules et des composés organiques volatils, tous ayant des effets néfastes sur la santé humaine. Les véhicules électriques sont également nettement plus silencieux que les véhicules thermiques (puisqu'ils n'ont pas d'explosions qui se produisent constamment à l'intérieur, par exemple), en particulier à basse vitesse, ce qui est important pour le confort mais aussi pour la faune alentours, car le stress et les perturbations liés au bruit sont un véritable problème pour les animaux.

Cependant, les véhicules électriques présentent également certains inconvénients. Comme mentionné précédemment, leurs résultats sont pires que les véhicules conventionnels en matière d’épuisement des métaux rares, causant également des dommages environnementaux et une pollution de l’eau sur ces sites, et comme cela peut nécessiter de nouvelles installations, l’industrie des véhicules électriques pourrait être responsable du changement d’affectation des sols. Un dernier élément à prendre en compte est que, comme les véhicules électriques sont généralement plus lourds, ils provoquent généralement des émissions de particules légèrement plus importantes dues à l'usure des pneux et de l'asphalte, mais celles-ci sont largement compensées par l'absence d'émissions d'échappement.

Il est donc important de garder à l’esprit que les VE ne sont pas dénués de conséquences négatives. Cependant, il y a un fort consensus scientifique sur le fait que l'achat d'un véhicule électrique au lieu d'un véhicule thermique similaire est l'option la plus durable.

b.      « Les batteries sont dangereuses ! »

En effet, le risque zéro n’existe pas et, comme tout moyen de stockage d’énergie, les batteries comportent certains risques. Cependant, les batteries ont connu des progrès significatifs pour garantir leur sécurité et fiabilité. Elles respectent des normes de sécurité très strictes sur les processus de fabrication et de conception, sur leur résistance aux chocs et à la température, etc. Les véhicules électriques sont équipés de systèmes complexes de gestion de batterie qui surveillent et contrôlent divers paramètres, notamment la température et la tension, pour prévenir tout danger. La plupart des véhicules électriques sont également dotés de mesures strictes de sécurité en cas d'accident et d'incendie pour minimiser les risques. À bord d’un véhicule électrique, la route est en réalité bien plus dangereuse que la batterie.

En ce qui concerne leur fin de vie, il est vrai que les batteries posent des problèmes environnementaux, par exemple en ce qui concerne les métaux lourds. Cependant, la mise en décharge est principalement du passé : les programmes de recyclage dans l’industrie des véhicules électriques sont désormais assez avancés, et même s’ils sont encore assez faibles, les taux de récupération du lithium, du cobalt et du nickel ne cessent d’augmenter. De plus, de nombreuses batteries trop âgées pour être utilisées dans les véhicules électriques conviennent encore à des applications secondaires telles que les systèmes de stockage d’énergie, prolongeant ainsi leur durée de vie utile. Enfin, l’innovation est toujours aussi forte en matière de batteries, on peut donc s’attendre à ce que les processus qui y sont liés deviennent de plus en plus sûrs et durables.

c.      « L’autonomie est terrible et les batteries mettent beaucoup trop de temps à se recharger ! »

En Europe, la grande majorité des trajets sont inférieurs à 160 kilomètres, et les pires autonomies actuelles pour les véhicules électriques se situent autour de cette valeur, tandis que l'autonomie moyenne est d'environ 380 km (au moment de l'écriture), avec certaines voitures comme l'Air Grand Touring de Lucid franchissant le seuil des 800 km sur une charge pleine. Par conséquent, vous devriez pouvoir effectuer la plupart des voyages sans avoir à penser à vous recharger, à condition de vous brancher la nuit. Mais pour les longs trajets occasionnels, sachez que les bornes récentes de recharge rapide en courant continu ont suffisamment de puissance pour vous fournir au moins 150 kilomètres d'électricité en seulement une demi-heure, si vous pouvez vous permettre cette courte attente. Ainsi, même si cela peut vous prendre un peu plus de temps pour parcourir des milliers de kilomètres avec un véhicule électrique, vous ne risquez vraiment pas de vous retrouver coincé·e au milieu de nulle part ou de devoir attendre la recharge pendant un temps atroce au bord de la route.

 

IV.               Considérations supplémentaires

a.      « Qu’en est-il de l’effet rebond ? »

Certaines personnes s'inquiètent de la possibilité que l'adoption généralisée des véhicules électriques conduise à une augmentation du nombre de véhicules sur le marché, et sur la route, causant ainsi des impacts environnementaux plus importants. Cependant, le développement du marché des véhicules électriques contribue également au développement des mobilités légères, comme les vélos et trottinettes électriques. Le développement des infrastructures de recharge est également une aide bienvenue dans la création de systèmes de partage de véhicules comme la location courte durée ou la propriété partagée. Une autre préoccupation est que les véhicules électriques contribuent à perpétuer une conception urbaine centrée sur la voiture. Même si cela peut être vrai, il est probable que cet impact négatif soit largement compensé par les effets positifs de la transition vers l’électrique sur la pollution atmosphérique et sonore.

b.      « Je dois acheter une voiture. Dois-je privilégier le neuf ou l'occasion ? »

Cela mérite une réflexion approfondie, et la réponse est différente pour chaque situation. Mais l’élément clé est que les voitures d’occasion sont moins chères, tout comme leur assurance, et qu’elles ne perdront pas leur valeur restante aussi rapidement qu’une voiture neuve. D’un autre côté, les véhicules plus vieux ne disposent pas des technologies les plus récentes, ne sont peut-être pas aussi efficaces et ont généralement des coûts de maintenance plus élevés. De plus, ils ne resteront probablement pas entre vos mains aussi longtemps. Le choix vous appartient !

 

Conclusion:

La première et principale conclusion est la suivante : n’achetez pas de voiture (fossile ou électrique) si vous n’en avez pas besoin. Si vous possédez actuellement une voiture et qu'elle n'est pas encore en ruine, continuez à l'utiliser pour réduire davantage le coût et les émissions par kilomètre sur toute sa durée de vie (en prenant en compte que le coût d'achat, les émissions de fabrication et les émissions de fin de vie sont divisés par le kilométrage total du véhicule). Si vous pouvez vivre confortablement en louant ponctuellement une voiture, en en empruntant une ou en faisant du covoiturage (ce qui est bien souvent possible pour les déplacements quotidiens), alors faites-le ! Vous pouvez probablement utiliser votre argent pour d’autres choses ! Et cela est encore plus vrai si vous n’avez tout simplement pas besoin d’utiliser une voiture. Un vélo électrique ou un abonnement aux moyens de transport en commun sont dans la plupart des cas une bien meilleure affaire par kilomètre parcouru.

Une fois cette considération importante écartée, reste-t-il une raison de ne pas acheter une voiture électrique au lieu d’une voiture conventionnelle ?

À moins que vous ne soyez concerné·e par l’une des situations mentionnées dans la première section de cet article, si vous décidez d’avoir besoin d’une ou plusieurs voitures pour vous-même ou votre entreprise, les véhicules électriques semblent être le meilleur choix. Aujourd’hui, ils peuvent parcourir des distances impressionnantes et ne nécessitent que rarement des recharges en plein jour, avec une recharge rapide lorsque cela est nécessaire. De plus, ils permettent des économies substantielles tant en termes d’argent dépensé qu'en émissions de GES. Par conséquent, dépenser un peu d’argent supplémentaire dans des alternatives électriques s'avère au final bénéfique à la fois pour votre porte-monnaie et pour la planète.

Si vous décidez d'approfondir le sujet et d'explorer des options pour votre entreprise, Fremsyn est prêt à vous aider. Notre équipe peut effectuer une analyse de flotte détaillée et vous présenter différents scénarios adaptés à vos besoins. De plus, nous pouvons vous guider tout au long du processus de transition, en nous appuyant sur l’expertise de nos membres possédant des années d’expérience dans ce domaine.

Bons et mauvais arguments contre le passage à l'électrique
Fremsyn 27 mars 2024
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